Le pire souvenir en Playoffs de chaque franchise : un récap parfait pour pleurer des larmes de sang
Le 13 avr. 2017 à 09:20 par Clément Hénot

C’est bon, la saison régulière a pris fin cette nuit, et qui dit fin de saison régulière dit début des Playoffs, et qui dit début de Playoffs dit nuit blanches gris très clair à foison. TrashTalk a passé en revue chaque franchise pour vous permettre de vous remémorer le pire cauchemar de cette franchise en post-season, ils sont tous là.
Nets (2003) : la maçonnerie de Kenyon Martin
Lakers (1969) : les ballons accrochés pour rien au plafond
Sixers (1977) : l’ultime système pour Julius Erving ? Bah non
Suns (1993) : la ficelle victorieuse de John Paxson
Magic (1995) : la tremblote de Nick Anderson
Kings (2002) : l’assassinat signé Big Shot Rob
Knicks (1995) : les 9 secondes de rush de Reggie Miller
Wolves (2004) : l’infirmerie en Finales de Conférence
Hornets (2016) : le fan qui a trop chauffé Dwyane Wade
Pelicans (2015) : l’Ave Maria signé Stephen Curry
Bulls (1994) : l’arbitrage au hasard contre Scottie Pippen
Mavericks (2006) : la coulante texane face au Heat
Pistons (1991) : le démantèlement des Bad Boys
Heat (2011) : les balbutiements de King James
Nuggets (2013) : le stop au 1er tour face aux Warriors
Blazers (2000) : le alley-oop stratosphérique du Shaq
Pacers (1994) : le craquage face aux Knicks
Grizzlies (2012) : les 24 points d’avance fumés par Swaggy P
Bucks (1974) : la sublime fin de carrière d’Oscar Robertson
Thunder (2016) : la zone de confort de Kevin Durant
Hawks (1988) : le poignet ultra chaud de Larry Bird
Clippers (2014) : le choke de Lob City en menant 3-1
Wizards (2006) : les murmures de LeBron James à Gilbert Arenas
Jazz (1998) : le shoot légendaire de Michael Jordan
Raptors (2001) : le diplôme de la discorde de Vince Carter
Rockets (1997) : le dagger de John Stockton
Celtics (1987) : le “junior sky-hook” de Magic Johnson
Spurs (2013) : la résurrection de Jesus Shuttlesworth
Cavaliers (2007) : le coup de balai des (déjà) vieux Spurs
Warriors (2016) : mener 3-1 puis plonger en enfer
Voilà voilà, tout y est. Idéal pour se mettre en position fœtale et sangloter pendant de longs moments de remise en question personnelle. On espère tout de même qu’on ne vous a pas trop déprimé à l’approche de ces Playoffs, mais ces derniers devraient vite vous remonter le moral. Si cela ne suffit plus : Prozac.