LeBron James, premier joueur de l’histoire NBA à accumuler 500 millions de dollars en salaire
Le 03 juil. 2024 à 15:31 par Nicolas Meichel
La nouvelle est tombée en début d’après-midi : LeBron James a prolongé aux Lakers pour 104 millions de dollars sur deux ans. Un nouveau contrat qui va permettre au King d’établir un énième record, cette fois-ci sur le plan financier.
En 21 saisons NBA, depuis son arrivée dans la Grande Ligue en 2003, LeBron James a accumulé 480 millions de dollars en salaire. L’an prochain, suite à la signature de son nouveau deal avec les Lakers, le King touchera 50 millions supplémentaires, puis 53 lors de la saison 2025-26. Vous faites le total, et vous obtenez le chiffre astronomique de 583 millions de dollars.
Dans l’histoire de la NBA, jamais un joueur n’avait réussi à atteindre la barre des 500 millions de gains en salaire uniquement.
LeBron James' NBA earnings by season:
2003 — $4M
2004 — $4.3M
2005 — $4.6M
2006 — $5.8M
2007 — $13M
2008 — $14.4M
2009 — $15.8M
2010 — $14.5M
2011 — $12.9M
2012 — $17.5M
2013 — $19M
2014 — $20.6M
2015 — $23M
2016 — $31M
2017 — $33.3M
2018 — $35.7M
2019 — $37.4M
2020 — $39.2M… pic.twitter.com/NPHERquz4p
— The Athletic (@TheAthletic) July 3, 2024
L’explosion du salary cap lors de la dernière décennie associée à son exceptionnelle longévité a permis à LeBron de battre tous les records sur le plan financier, quand on prend uniquement en compte les salaires touchés à travers ses contrats avec les différentes équipes NBA. Lorsqu’on y ajoute les sponsors et autres revenus hors terrain, LeBron James atteint carrément le milliard de dollars. Le King est le premier joueur actif en NBA à devenir milliardaire (depuis juin 2022).
À titre de comparaison, Michael Jordan avait accumulé « seulement » 94 millions de dollars en salaire durant sa carrière NBA (c’était un autre temps…), mais il reste le sportif le mieux payé de l’histoire avec des gains estimés à 3,7 milliards en prenant compte les sponsors (Nike/Jordan Brand notamment) et autres revenus hors terrain.
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Sources texte : The Athletic / Spotrac
