Maillots NBA City Edition : qui s’est vautré, qui aura la classe ?
Le 27 nov. 2025 à 19:13 par Nicolas Vrignaud

Ils ont été dévoilés durant la semaine passée, on a pris le temps de tous les décortiquer pour avoir autant de recul dans notre analyse qu’une Cristina Cordula en direct à 18h30 sur M6. Les maillots NBA City Edition 2025/26, c’est l’heure de la petite évaluation.
Bien sûr, on ne pas traiter les 30 tuniques de cette nouvelle fournée proposée par Nike en collaboration avec les franchises NBA. Néanmoins, on va quand même prendre le temps de rapidement donner nos coups de coeur et nos fashion faux-pas. Allez, coup d’oeil globale sur la cuvée 2026.
Introducing the 2025-26 Nike NBA City Edition Jerseys! pic.twitter.com/LfCy7Nw3g5
— NBA (@NBA) November 11, 2025
Les coups de coeur
Bien sûr, certaines franchises ont fait le choix du recyclage. Est-ce vraiment une faute ? Pas forcément, car dans certains cas, c’est donner aux fans l’opportunité de se doter d’une pièce qu’ils n’avaient pas pu acquérir en premier lieu. On place dans cette catégorie le Heat et son maillot Vice City, les Bucks et leur édition Cream City aux couleurs sobres mais au rendu remarquable.
Les Spurs ressortent eux leur maillots aux inspirations « Fiesta » qui va assurément faire un carton en France avec Wembanyama inscrit au dos. D’ailleurs, pour les fans tricolores de balle orange, de nombreux articles de sport sont disponibles sur le site Privé by Zalando. Ça c’était pour la petite passe décisive, on enchaîne.
On apprécie ici aussi beaucoup le retour du maillot Purple Rain des Wolves, car il fait d’une pierre deux coups. Oui, il est sympa et en plus il nous permettra d’y voir quelque chose aux matchs de Minnesota. C’est bon, on en a marre du fluo dégueulasse et on a assez de post-it à la rédac’. Dernier maillot particulièrement aimé ici, celui des Nets. Notorious Big comme hommage, mais aussi l’équipe fabuleuse de 2017-18. Un temps qui paraît si lointain, sans doute la dernière étincelle de bonheur en date à Brooklyn
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Les fashion faux-pas
C’est l’heure de taper sur certains doigts. Si les joueurs ont tant d’inspiration dans leurs outfits avant et après les matchs, et s’attachent à apparaître avec classe aux yeux de la presse et du public, pourquoi tout gâcher en leur filant du matos affreux pendant la rencontre ? Oui, c’est bien des Pelicans qu’on cause ici. Si cette franchise brille par sa nullité sur le terrain, il faut croire que c’est aussi l’état d’esprit de la cellule artistique. C’est moche, moche et encore moche.
D’autres franchises s’en sortent pas trop mal, ça ne brille pas mais c’est loin d’être une abomination. Les Hornets ne font par exemple pas partie de cette catégorie, avec un maillot au potentiel intéressant pourtant gâché avec des couleurs aléatoires, sans aucun lien apparent avec l’équipe. Et puis c’est sans parler du parquet. Encore une franchise qui ne veut pas qu’on la regarde, décidément.

Dernière équipe de notre bottom 3 : Washington. On comprend l’inspiration de l’ère Gilbert Arenas, mais c’est mal exécuté selon nous. L’écriture sur le jersey est peu lisible, les couleurs trop éloignées. Le tout rend vraiment assez mal.
